J'ai attrapé le gode ceinture dans la table de chevet, mon coeur battant la chamade d'impatience en le saisissant. J'avais passé des heures en ligne à chercher la taille et la forme parfaites, m'assurant qu'il serait parfait en lui. Je l'ai enfilé, j'ai ajusté le harnais jusqu'à ce qu'il soit bien serré contre mes hanches, puis j'ai grimpé sur le lit à côté de lui.

En me positionnant entre ses jambes, je me suis penchée en avant, mon corps se pressant contre le sien. "Es-tu prêt pour ça ? J'ai chuchoté, d'une voix basse et rauque. Il a hoché la tête en tremblant, ses yeux fixés sur les miens tandis que je guidais l'extrémité du strap-on jusqu'à son entrée. D'une légère poussée, j'ai commencé à l'insérer, centimètre par centimètre, lent et exquis.

Sa respiration s'est arrêtée lorsque je l'ai pénétré, le bout du gode appuyant sur quelque chose d'étroit et d'inflexible au plus profond de lui. Je pouvais sentir la résistance, la lutte contre ce qui se passait, mais je savais qu'il le voulait autant que moi. Je l'ai regardé dans les yeux, ma main libre s'étendant vers le bas pour caresser sa bite en même temps que mes poussées.

"Laisse-toi aller", ai-je chuchoté, la voix pleine de désir. "Laisse-toi aller".

Comme en réponse, son corps se tendit et ses hanches s'élancèrent vers le haut, répondant à mes poussées avec une faim qui me laissa sans souffle. Je me suis penchée en avant, m'appuyant sur mes mains, et j'ai commencé à l'enfoncer, de plus en plus vite, le lit claquant contre le mur à chaque impact. J'ai senti sa prostate contre le strapon, le faisceau sensible de nerfs qui l'enverrait vers l'extase, et j'ai su que je ne pouvais pas me retenir plus longtemps.

J'ai tendu la main entre nous et j'ai trouvé sa bite déjà luisante d'anticipation. J'ai commencé à le caresser en rythme avec mes poussées, mon toucher devenant plus ferme et plus pressant à mesure que je sentais les premiers tremblements de sa libération. Ses cris remplissaient la pièce, étouffés par les draps, tandis que je continuais à le caresser, sentant une sensation familière qui se développait dans mon propre corps.

Alors que son orgasme le submergeait, ma propre libération suivait de près, mon corps se cambrant contre le sien tandis qu'une puissante vague de plaisir me traversait. Il a joui violemment, son sperme chaud se répandant sur ma main et sur son ventre, ses muscles se contractant et se détendant au rythme de chaque spasme. J'ai supporté la sensation, ma respiration étant irrégulière alors que mon propre orgasme menaçait de me consumer...

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Homme, 32 ans, doux, discret et respectueux.