J'ai poussé la porte pour entrer chez toi.
Et te voici, là, debout, jupe légère, chemisier échancré, cheveux dénoués.
Chut, pas un mot, ce qui devait être dit l'a été par téléphone, avant ...
Juste le regard, nos regards, pour voir que l'on ne s'est pas trompé, qu'on se reconnaît même si on ne s'est jamais connu
Et me voici, qui m'approche pour poser mes mains sur tes hanches, mes lèvres sur les tiennes,
et mes mains qui se glissent sous ta jupe, qui remontent au long de tes cuisses,
et mes genoux qui se plient, et ma bouche qui vient boire à ton intimité, et tes mains qui caressent mes cheveux, qui guident ma tête...
Doucement tu me relèves pour m'emmener vers ton grand lit qui nous attend

cette histoire te parle, je t'attends pour en écrire la suite ou pour l'écrire autrement