Avant de lire ce récit, enlèves ta culotte, écartes tes jambes, avances au bord de ta chaise, libère ta chatte. Bonne lecture.
Je te souhaite bon voyage, peut être vers moi.
Tu es allongée, entièrement nue, tes yeux sont fermés. Tu es sur le dos, tes jambes légèrement écartées, tes bras étirés en arrondi au dessus de ta tête. Ainsi, tu es complètement offerte. Tes pensées s'envolent. Le soleil, l'air sur toi sont comme une caresse brûlante et font naître au fond de ton corps un émoi diffus. Des images surgissent, des pensées, des sensations, des scènes, des désirs, des envies en forêts sauvage aussi. Des flashs jusqu'à là interdits.. T'écartes plus largement tes jambes découvrant entièrement et sans retenue ton sexe. Te sens la chaleur du soleil sur tes lèvres, s'insinuer au creux de toi telle ma main, la main d'un homme qui s'aventure dans le secret de ton corps. Tu sais ta pose lascive, tu es consciente mais tu aimes te voir ainsi. Tu m'imagine posté devant toi t'observant sans bruit, sans esquisser le moindre mouvement. Habillé d'un pantalon et d'une chemise légère est entrebâillée sur mon torse et toi nue. Grand, brun, des yeux clairs. Je te regarde et tu sens mon regard sur toi. Tu ne bouge pas. Ton attitude devient simplement plus alanguie. Plus offerte. Tu te soumets à mon regard. L'excitation monte, tu t'offres de plus en plus dans ton attitude, tu te plais, tu t'abandonne encore.. Tu soupire d'aise. Tu es si bien ainsi. Au fond de ton corps naît une douce moiteur. Ta main se pose sur ton sein droit et commence doucement à en triturer le bout. Lentement. Une caresse très douce qui ne fait qu'effleurer sans vraiment toucher car tu sens dans mon regard que je ne te l'autorise pas pour l'instant. Tu sens le mamelon réagir sous ton doigt, durcir et commencer à se dresser. Mon regard s'insinue plus loin en toi, te fouille. De la main, t'entrouvre tes lèvres pour faciliter cette inquisition qui te remplit de bonheur. Mon regard dominant, envahissant, rassurant te brûle. Images de fournaise, de brasier. Ta main descend jusqu'au centre de ton corps et commence un lent mouvement de va et vient sur ta fente, ton bourgeon, étalant ta liqueur. Ton sexe brille, parfaitement huilé. Tes doigts s'insinuent plus encore, descendent en des lieux profonds et insondables, pénètrent. Un doigt d'abord, puis deux. Ils tournent à l'intérieur de toi enserrés dans un fourreau de soie. Ton pouce est posé sur ton clitoris, s'y appuie fermement, le compressant. Des tressaillements naissent au creux de tes reins. STOP. Pas encore. Faire durer cet instant magique qui surgit avant le plaisir. Tu t'ouvre encore davantage. Tes deux jambes sont maintenant repliées, largement écartées. Tu es prête ainsi à l'assaut de ton homme et de ma queue que ton corps réclame. Tu me vois. Tu sais mon désir. Tu t'offres à ce désir. Tu te caresse pour moi. Et tu es excitée de plus en plus de te voir offerte à mon regard. Défaire entièrement ma chemise et poser tes lèvres sur mon torse, me mordiller le bout des seins, descendre jusqu'à mon nombril, y insinuer ta langue, y tournoyer. Tu déboucle ma ceinture, dégrafe mon pantalon. Tu introduit ta main à l'intérieur, tu trouve le passage. Ta main est à l'étroit mais arrive malgré tout à se saisir de mon membre déjà gorgé de désir. Tu as envie de moi. Me sentir te pénétrer, m'enfoncer en toi, te labourer à grands coups de reins.. Je suis au dessus de toi, penché sur toi, en toi. Mes bras t'encadrent. Je te regarde et lis dans tes yeux le désir impudique et violent qui t'habite. Je descend vers toi. Tu sens mon sexe frôler ton clito, glisser entre tes lèvres déjà luisantes de plaisir, je suis à l'entrée de ton corps frémissant et consentant. Je pousse, m'introduis, m'enfonce... Stop, tu veux la suite? brises tes chaines, prends les devant, et à ton clavier et vite.
Je suis plutôt bel homme de 35ans, 185cm, 79 kg, sportif, corps d'athlète, soigné et respectueux.